Les dirigeants

Jacques Aira

Marcel Moulin

Emilio Diaz

Jacqueline Catoire

Laurent Desproges

Olivier Amiel

Michel Catoire

Paul Corbelli

Jean Pierre Derrien

Thierry Rochet

Fred Chabaud

Bernard Ibanes

Christian Gomis

Gilbert Bourchet

Hervé Ferrat

Thierry Gloaguen

 

Olivier Ibanez

 

Didier Khelfa

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’humeur… par Alexis Mazzotti

C’est l’histoire d’un club qui a su grandir avec des moyens certes limités mais avec des hommes et des femmes extraordinaires à ses commandes. Des gens, tout ce qu’il y a de plus banal, mais des gens énormes… Enormes de compétences, énormes de disponibilité, énormes dans le don de soi.

C’est à eux que je dis merci aujourd’hui.

Merci donc à Michel, Laurent, Bernard, Emilio, Jean-Pierre, Thierry, Frédéric, Olivier, Jacqueline, Jean-Marie, Paul, Marcel, Marie-Hélène… Mais également Christian, Gilbert, Hervé, Thierry et Marie-Claude avec une pensée à Papi Aira.

Marie Claude Pikulsky et sa remplaçante Marie Hélène Johner

Non, il ne manque personne. Ou plutôt oui…

Alors, revenons quelque peu en arrière, six ans plus tôt précisément.

Il est 12h45 et l’histoire commence…

« Dire que je savais, en allant le chercher, qu’il nous emmènerait en Nationale 1 serait quelque peu présomptueux mais il est vrai, que ce jour-là, ce samedi de printemps, après plus d’une heure de dialogue, j’ai compris que Nicolas serait le Président dont notre association avait besoin, le Président d’un Salon Basket Club très ambitieux. Et pourtant…

Il était resté très vague quant à sa future implication au sein même de la structure, son emploi du temps demeurant, pour l’instant, un vrai frein.

Quatre mois plus tard, le processus était en marche… On ne le savait pas encore mais il allait nous porter, soixante douze mois plus tard, trois divisions au dessus.

Combien d’anecdotes sont alors venues fleurir (certaines ternir !) la vie de ce club pas comme les autres… Elles ne se comptent plus.

C’est un Président qui débute et qui rêve déjà d’enrôler le meilleur joueur de la région, en l’occurrence Jérôme Chapeau (qui jouait alors à Cabriès-Calas en Nationale 2).

Ce sont des joueurs qui ne croient pas au projet et qui déclinent nos offres.

C’est une réunion de pré-saison où le Président annonce qu’il faudra gagner 22 matches sur 22 rencontres.

C’est un coach, renommé dans la région, qui entraîne une fois pieds-nus, une fois en basket rafistolées au strap.

C’est Philippe Mariau, première recrue de l’ère Isnard, qui enquille 11 paniers à 3 points lors de sa première rencontre sous les couleurs salonaises.

C’est le premier licenciement, par le Président, d’un coach mais au bout de trois journées seulement.

C’est le coaching d’un samedi soir, à Carpentras, de Françoise Jantzen et Nicolas Isnard lui-même.

Françoise Jantzen, à gauche, lors de la remise du Challenge Aira.

C’est la victoire contre Golfe Juan (alors en NM3) en Coupe de France alors que l’équipe fanion de Salon évolue encore en Excellence Région.

C’est la dispute entre Toufik et Renaud au soir d’une défaite à Fréjus, en Nationale 3, et qui marque la première apparition de Jérôme Chapeau sous les couleurs salonaises (et oui, le Président n’aura attendu qu’un an !).

C’est la victoire contre Monaco, alors en NM1, en Coupe de France (et oui, encore !) alors que Salon évolue en NM3

C’est l’arrivée d’un coach de renommée internationale, en l’occurrence Jacques Vernerey.

Jacques Vernerey entouré de Olivier Ibanez et Alexis Mazzotti

C’est la première défaite à Montbrison, lors de la première journée de championnat de France de NM3, l’année où l’ambition clairement affichée n’est autre que monter en Nationale 2.

Ce sont les 22 victoires qui vont suivre et nous propulser tout droit en NM2.

C’est le départ anticipé de Luc Biasucci, en plein début de saison.

C’est la victoire aux forceps, à Fréjus, dans l’antre du dauphin et dans un match piège, pourri par les joueurs locaux et leur public hostile

Ce sont les 44 points, ce soir-là, d’un Jérôme Chapeau, tout simplement inarrêtable

C’est le passage éclair de Bruno Rodriguez.

C’est l’intermède Portas-Mazzotti

C’est aussi et surtout l’aventure des « Minots du Club » qui ont composé l’ossature de la première équipe ayant acquis le droit de monter à l’étage supérieur. Merci donc à Benoit Graziani, Jérémy Cizabuiroz, Wilfried Serre, Cyril Reboul, Olivier Mereau, Sylvain Gerbino, Thomas Charvot, Pierre Lenne,Cyril Dallhuin, Lionel Giavelli sans oublier Toufik Aittou et JB Blein

Philippe Mariau

Jean-Bernard Blein

Toufik Aîttou

Mais l’histoire retiendra aussi les joueurs qui étaient là ou qui nous ont rejoint et qui, par leur personnalité propre, ont laissé une trace indélébile. Je pense à Stéphane Govindy, Sébastien Rey, Renaud Casseleux, Ben Diobaye, Laurent Ferrat… Et à d’autres qui sont partis puis revenus comme Guillaume Gerbier ou encore Alexandre Guillaume. J’en aurais certainement oublié… Qu’ils m’en excusent .

Mais je n'oublierai pas mon fidèle partenaire de l'époque : Olivier Ibanez.

K.Graille,G.Pourret,S.Blein,L.Ferret,A.Lesteven,L.Banon,F.Jantzen

C'est la bonne surprise du chef : la même année où les garçons accedent à la Nationale 3, les séniors filles en montent en Nationale 3 avec un bilan de 22 victoires en 22 matches (comme quoi c'était possible !)

Merci d'ailleurs à Didier et son staff.

                          Nicolas Isnard                    Alexis Mazzotti

Les joueurs

Jérôme  Chapeau

Stephane Govindy

Antonio Portas

Renaud Casselleux

Cyril Reboul

Jérémy Ciziabuiroz

Guillaume Gerbier

Thomas Charvot

Cyrille Dhalluin

Lionel Giavelli

Alexandre Guillame

Ben Diobaye

Sylvain Gerbino

Sébastien Rey

Benoit Graziani

Wilfrid Serre

 

Luc Biasucci